Airbus-Quebec acuerdo inversión A220

AW | 2022 02 04 15:15 | INDUSTRY / GOVERNMENT
Aproximan acuerdo de inversión para Programa A220
Airbus Group y el Gobierno de Quebec anunciarán un acuerdo de inversión que permitiría a la provincia canadiense permanecer en el deficitario programa de aviones Airbus A220 hasta que la empresa se vuelva rentable, dijeron dos fuentes familiarizadas con el asunto. El acuerdo de inversión, que se anunciará este Viernes 04/02, aplazaría cuatro años el período en que Airbus compre la participación del 25% de Quebec del Programa A220 de 2026 a 2030. Según el acuerdo, tanto Airbus como el Gobierno de Quebec invertirían en el programa.
El A220 es una aeronave jet configurada para 110-130 asientos, se ha beneficiado de la preferencia de las aerolíneas por aviones regionales durante la pandemia. Airbus aún no ha asegurado precios lo suficientemente bajos para muchos de los componentes del avión. No se espera que el programa sea rentable antes de 2025. Los contratos con proveedores clave como Raytheon Technologies se establecieron originalmente bajo la canadiense Bombardier Inc, que carecía de poder adquisitivo cuando intentó ingresar al mercado principal de aviones y cedió el control del programa de aviones a Airbus Group en 2018. Se esperaba que Airbus utilizara su red de marketing global y un mayor poder adquisitivo de los proveedores para consolidar el proyecto, pero aunque las ventas se han disparado, fuentes de la industria dicen que ha tenido dificultades para obtener las concesiones que quiere de los proveedores. Ha asegurado recortes de precios de alrededor del 20% de proveedores clave, pero está presionando por otro recorte comparable, mientras analiza si algunas piezas podrían rediseñarse para hacerlas más eficientes para producir, dijeron fuentes de la industria. El A220 se construye tanto en una planta de Airbus en el área de Montreal, Canadá, como en las instalaciones de Mobile en el Estado de Alabama, Estados Unidos.
En 2020, Bombardier de Canadá salió del programa, el primer avión de fuselaje estrecho completamente nuevo en treinta años inicialmente llamado CSeries, después de que se vio acosado por retrasos y sobrecostos. El acuerdo le dio a Airbus una participación del 75% en el Programa A220 y la Provincia canadiense de Quebec se quedó con el 25% restante después de acordar invertir US$ 1 mil millones en la CSeries en 2015.
Quebec invirtió por primera vez en el avión cuando era conocido como Bombardier CSeries. El entonces Primer Ministro Philippe Couillard lanzó a Bombardier un salvavidas en 2015 al autorizar a Investissement Québec a invertir US$ 1.000 millones de Dólares en el programa por una participación del 49,5 por ciento. Bombardier finalmente entregó el control de la CSeries a Airbus Group. Hace dos años estaba fuera de discusión que Quebec hiciera una inversión adicional en el A220, mientras se revocaba en 2015 de inyectar dinero en el programa en lugar de comprar una participación en Bombardier Inc.
Airbus Group considerará construir una versión más grande del A220, tal vez denominada A220-500 con capacidades para transportar hasta 160 pasajeros, una vez que se haya logrado la rentabilidad, dijo el Presidente Ejecutivo de Airbus Canadá, Benoit Schultz, en Noviembre 2021. La nueva variante ingresaría de lleno en la competencia en el segmento de los narrowbodies pero con capacidades inferiores respecto a la carga.
Airbus-Quebec investment agreement A220

Approximate investment agreement for A220 Program
Airbus Group and the Quebec Government will announce an investment agreement that would allow the Canadian province to stay in the losing-poor Airbus A220 plane program until the company becomes profitable, two sources familiar with the matter said. The investment agreement, to be announced this Friday 02/04, would postpone the period in which Airbus buys Quebec’s 25% stake in the A220 Program by four years from 2026 to 2030. Under the agreement, both Airbus and the Government of Quebec would invest in the program.
The A220 is a jet aircraft configured for 110-130 seats, it has benefited from airlines’ preference for regional aircraft during the pandemic. Airbus has not yet secured low enough prices for many of the plane’s components. The program is not expected to be profitable before 2025. Contracts with key suppliers such as Raytheon Technologies were originally settled under Canada’s Bombardier Inc, which lacked purchasing power when it tried to enter the mainstream aircraft market and relinquished control of the aircraft program. to Airbus Group in 2018. Airbus was expected to use its global marketing network and increased purchasing power from suppliers to consolidate the project, but while sales have soared, industry sources say it has struggled to win concessions. What do you want from suppliers? It has secured price cuts from around 20% from key suppliers, but is pushing for another comparable cut, as it looks at whether some parts could be redesigned to make them more efficient to produce, industry sources said. The A220 is built both at an Airbus plant in the Montreal area, Canada, and at Mobile’s facilities in the State of Alabama, USA.
In 2020, Canada’s Bombardier exited the program, the first all-new narrow-body in thirty years initially called the CSeries, after it was beset by delays and cost overruns. The deal gave Airbus a 75% stake in the A220 Program with the Canadian Province of Quebec keeping the remaining 25% after agreeing to invest US$1bn in the CSeries in 2015.
Quebec first invested in the aircraft when it was known as the Bombardier CSeries. Then-Prime Minister Philippe Couillard threw Bombardier a lifeline in 2015 by authorizing Investissement Québec to invest $1 billion in the program for a 49.5 percent stake. Bombardier eventually handed over control of the CSeries to Airbus Group. Two years ago it was out of the question for Quebec to make a further investment in the A220, while reversing in 2015 from pumping money into the program rather than buying a stake in Bombardier Inc.
Airbus Group will consider building a larger version of the A220, perhaps dubbed the A220-500 with capacities to carry up to 160 passengers, once profitability has been achieved, Airbus Canada Chief Executive Benoit Schultz said in November 2021. new variant would fully enter the competition in the narrowbodies segment but with lower capacities regarding the load.
Accord d’investissement Airbus-Québec A220

Accord d’investissement approximatif pour le Programme A220
Airbus Group et le Gouvernement du Québec annonceront un accord d’investissement qui permettrait à la province canadienne de rester dans le programme d’avions Airbus A220 en perte de vitesse jusqu’à ce que la société devienne rentable, ont déclaré deux sources proches du dossier. L’accord d’investissement, qui sera annoncé ce Vendredi 02/04, reporterait la période au cours de laquelle Airbus achète la participation de 25% du Québec dans le Programme A220 de quatre ans, de 2026 à 2030. En vertu de l’accord, tant Airbus que le Gouvernement du Québec investir dans le programme.
L’A220 est un avion à réaction configuré pour 110-130 sièges, il a bénéficié de la préférence des compagnies aériennes pour les avions régionaux pendant la pandémie. Airbus n’a pas encore obtenu de prix suffisamment bas pour de nombreux composants de l’avion. Le programme ne devrait pas être rentable avant 2025. Les contrats avec des fournisseurs clés tels que Raytheon Technologies ont été initialement conclus avec le canadien Bombardier Inc, qui manquait de pouvoir d’achat lorsqu’il a tenté d’entrer sur le marché des avions grand public et a cédé le contrôle du programme d’avions à Airbus Group en 2018. Airbus devait utiliser son réseau de commercialisation mondial et un pouvoir d’achat accru auprès de ses fournisseurs pour consolider le projet, mais alors que les ventes ont grimpé en flèche, des sources de l’industrie disent qu’il a eu du mal à obtenir des concessions. Il a obtenu des réductions de prix d’environ 20% auprès des principaux fournisseurs, mais fait pression pour une autre réduction comparable, car il examine si certaines pièces pourraient être repensées pour les rendre plus efficaces à produire, ont indiqué des sources de l’industrie. L’A220 est construit à la fois dans une usine d’Airbus dans la région de Montréal, au Canada, et dans les installations de Mobile dans l’État de l’Alabama, aux États-Unis.
En 2020, le Bombardier canadien a quitté le programme, le premier tout nouvel avion à fuselage étroit en trente ans initialement appelé CSeries, après avoir été en proie à des retards et à des dépassements de coûts. L’accord a donné à Airbus une participation de 75% dans le programme A220, la province canadienne de Québec conservant les 25% restants après avoir accepté d’investir 1 milliard de dollars américains dans le Cseries en 2015.
Le Québec a d’abord investi dans l’avion alors qu’il était connu sous le nom de Bombardier CSeries. Le premier ministre de l’époque, Philippe Couillard, a lancé une bouée de sauvetage à Bombardier en 2015 en autorisant Investissement Québec à investir US$ 1 milliard de Dollars dans le programme pour une participation de 49,5 %. Bombardier a finalement cédé le contrôle de la CSeries à Airbus Group. Il y a deux ans, il était hors de question pour le Québec de faire un investissement supplémentaire dans l’A220, alors qu’en 2015, il renonçait à injecter de l’argent dans le programme plutôt qu’à acheter une participation dans Bombardier Inc.
Airbus Group envisagera de construire une version plus grande de l’A220, peut-être baptisée A220-500 avec des capacités de transport jusqu’à 160 passagers, une fois la rentabilité atteinte, a déclaré le directeur général d’Airbus Canada, Benoit Schultz, en Novembre 2021. La nouvelle variante entrerait pleinement dans le concurrence dans le segment des corps étroits mais avec des capacités inférieures en termes de charge.

PUBLISHER: Airgways.com
DBk: Airbus.com / Quebec.ca / Airgways.com
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OWNERSHIP: Airgways Inc.
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